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Interviews presse écrite
29 septembre, 2018, 01:36
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11 mar 2022

TV5 Monde : https://information.tv5monde.com/info/en-afrique-la-russie-mene-une-guerre-pas-contre-des-ennemis-mais-pour-s-implanter-448283

par

Base militaire, vente d’armes, présence de mercenaires… Depuis quelques années, la Russie s’applique à étendre sa présence sur le continent africain. Marc Lavergne, directeur émérite de recherches au CNRS et spécialiste de la Corne de l’Afrique décrypte cette politique d’influence qui devrait s’intensifier dans les prochaines années. Entretien. 

16 mai 2021 : https://afrique.tv5monde.com/information/conference-internationale-dappui-la-transition-soudanaise-la-france-en-premiere-ligne

Conférence internationale d’appui à la transition soudanaise : la France en première ligne pour « réinvestir le Soudan »

A la veille d’un sommet sur les économies africaines organisé à Paris, une conférence internationale d’appui à la transition au Soudan se tiendra, à compter de lundi 17 mai, au Grand Palais Ephémère. A l’initiative du président Emmanuel Macron, ce forum international réunira des représentants de pays africains, européens et américains mais aussi d’organisations internationales ainsi que des patrons d’entreprises françaises. Décryptage de l’initiative française avec le chercheur Marc Lavergne, spécialiste du Soudan.

2021 : https://www.la-croix.com/Monde/A-Paris-Soudan-quete-dinvestisseurs-favoriser-developpement-pays-2021-05-17-1201156096

À Paris, le Soudan en quête d’investisseurs pour favoriser le développement du pays

Analyse

Une conférence internationale de soutien au développement du Soudan se tient à Paris lundi 17 mai. L’objectif de la conférence : attirer les investisseurs et réintégrer ce pays longtemps marginalisé au sein de la communauté internationale.

  • William Gazeau,
  • le 17/05/2021

La Croix : https://www.google.fr/search?q=La+croix+Soudan+Lavergne&ie=UTF-8&oe=

Au Soudan, le manque de terres provoque des déferlements de violences

Analyse

Les violences se multiplient dans la région soudanaise du Darfour, où 60 personnes ont été tuées, samedi 25 juillet, lors d’une attaque à Masteri. Le conflit ethnique, amplifié par un manque de terres cultivables au Soudan, ne parvient pas à être résolu par le gouvernement transitoire de Khartoum.

Libération : www.liberation.fr/auteur/12323-marc-lavergne
2020
https://afrique.tv5monde.com/information/soudan-le-pays-rompt-avec-lexcision
Plus d’un an après la chute d’Omar el-Béchir, le Soudan semble assouplir des décennies de politiques strictes, comme l’excision des petites filles. Pour Marc Lavergne, directeur de recherches au CNRS, il s’agit surtout d’un effet d’annonce.
09/06/2020 Marc Lavergne https://www.lefigaro.fr/vox/monde/l-armee-turque-s-installe-en-libye-vers-un-nouveau-chantage-aux-migrants-d-erdogan-20200609
https://www.la-croix.com/Monde/Le-futur-grand-barrage-ethiopien-inquiete-lEgypte-2020-06-10-1201098533

Le futur grand barrage éthiopien inquiète l’Égypte

Le futur grand barrage éthiopien inquiète l’Égypte

Analyse

L’Éthiopie, l’Égypte et le Soudan se sont réunis mardi 3 juin par visioconférence afin de s’accorder sur le remplissage du réservoir du grand barrage de la renaissance. Le monumental projet éthiopien suscite depuis près de dix ans l’inquiétude de l’Égypte qui craint une pénurie d’eau en aval du Nil.

  • Marie Terrier, le 10/06/2020

https://www.la-croix.com/Monde/Le-rapprochement-entre-Israel-larmee-soudanaise-deplait-gouvernement-Khartoum-2020-02-09-1201077226

Le rapprochement entre Israël et l’armée soudanaise déplaît au gouvernement de Khartoum

Au Soudan, le gouvernement civil est divisé après l’annonce du général Burhane de renouer les liens avec l’État hébreu.

  • Marion Bellal, le 09/02/2020

 

2019
11/09/2019 Marc Lavergne https://www.lefigaro.fr/vox/monde/du-soudan-au-yemen-ce-que-nous-dit-la-recomposition-politique-en-cours-en-afrique-20190911
25/08/2019 https://www.letemps.ch/monde/soudan-un-economiste-lonu-face-larmee

Au Soudan, un économiste de l’ONU face à l’armée

 Quatre mois après la chute d’Omar el-Béchir, un premier ministre quasiment inconnu de ses compatriotes va prendre la tête d’un gouvernement de transition. Pas encore de quoi effrayer des militaires qui tiennent solidement le pays
Denis Blin
Publié vendredi 23 août 2019 à 08:43
Interviews presse écrite

Pressenti depuis plusieurs semaines pour mener le nouveau gouvernement de transition du Soudan, Abdallah Hamdok a prêté serment en tant que premier ministre, jeudi, à Khartoum. Cet économiste passé par les Nations unies représente un espoir pour des millions de Soudanais, quatre mois après le soulèvement populaire qui a chassé du pouvoir le dictateur Omar el-Béchir. Hamdok s’est donné comme objectif d’installer «une paix durable, de faire face à la sévère crise économique et de mettre en place une politique étrangère équilibrée». Quelques heures avant sa nomination, un Conseil souverain, chargé de superviser la transition démocratique du pays pour les vingt et un prochains mois, avait été mis en place pour remplacer le Conseil militaire en vigueur depuis avril.

Lire aussi: Soudan: le premier ministre de transition investi

Sur le papier, la double annonce sonne comme un aboutissement pour l’opposition civile, concentrée dans la capitale, Khartoum, et les grandes villes. Reste la réalité du terrain dans un pays aux 40 millions d’habitants où la junte militaire est bien plus qu’une institution. Pour Marc Lavergne, spécialiste du monde arabe et de la Corne de l’Afrique au Centre national de recherche scientifique (CNRS) à Paris, la nomination d’Abdallah Hamdok «fait du bien sur la photo, mais c’est un parfait inconnu sur la scène intérieure. C’est le profil typique d’apparatchik onusien, quelqu’un qui va rassurer les investisseurs et l’Occident.»

Bouche-trou

A 61 ans, le nouveau premier ministre incarne l’intelligentsia soudanaise, privée de tout rôle majeur à Khartoum après le coup d’Etat d’Omar el-Béchir en 1989. Sa nomination pourrait certes pousser les Etats-Unis à retirer le Soudan de sa liste noire des Etats soutenant le terrorisme, cet «axe du mal» comprenant également l’Iran, la Syrie et la Corée du Nord. Pour le reste, Marc Lavergne voit le verre à moitié vide. «Hamdok n’est pas un leader politique, même pas vraiment un opposant. Il ne renversera pas la table. Il sert juste à boucher les trous jusqu’à ce que l’armée décide de reprendre les commandes.»

Car le Conseil souverain désigné mercredi peut être vu de deux façons. D’un côté, l’opposition est majoritaire au sein de l’instance: six civils contre cinq militaires. De l’autre, le leadership reste l’apanage d’un général, Abdel Fattah al-Burhane, longtemps homme de confiance d’Omar el-Béchir. Celui, aussi, qui a mené une répression sanglante face aux manifestations anti-militaires au printemps.

Lire également: Omar el-Béchir: trente ans à la tête du Soudan

«Général terreur»

Derrière Al-Burhane, l’influence du véritable homme fort de l’armée, Mohamed Hamdan Dogolo, également nommé au Conseil souverain mercredi, inquiète encore plus. «Le général terreur», titrait en juin le journal La Croix, est un chef de guerre au réseau de mercenaires fourni connu pour sa cruauté. Ses Forces de soutien rapide, les RFS, ont été en première ligne dans la répression des manifestants depuis avril. «Il peut poignarder Al-Burhane à n’importe quel moment et prendre le pouvoir», estime Marc Lavergne.

L’accord entre l’armée et l’opposition civile laisse vingt et un mois au Conseil souverain pour dégager des réformes économiques, dans un pays miné par les pénuries et la violence. Au début des années 2000, le conflit ethnique au Darfour, région de l’Ouest soudanais, a créé une situation humanitaire chaotique. Une crise prolongée par la sécession, en 2011, de ce qui est aujourd’hui le Soudan du Sud. Un coup dur pour Khartoum, qui a perdu là le cœur pétrolifère du Soudan.

Métaux rares

Le pays a d’autres atouts pour attirer les investisseurs. Son sous-sol est riche en métaux rares, notamment l’or. Chinois et Américains en sont bien conscients, rappelle Marc Lavergne. Difficile pour autant d’imaginer le lancement d’une vraie politique économique, selon lui. Il pointe du doigt la préservation par la junte militaire d’une forme de «dépendance coloniale» héritée de l’Empire britannique. Et entretenue par le Fonds monétaire international (FMI), dont «les directeurs successifs ont toujours signé des chèques en blanc à Omar el-Béchir» sans que les réformes économiques nécessaires soient entreprises.

18/07/2019 Valentin Cebron : https://www.liberation.fr/planete/2019/07/18/au-soudan-du-sud-la-guerre-fait-regner-la-repression_1740697
01/07/2019 Célian Macé : https://www.liberation.fr/planete/2019/07/01/soudan-les-revolutionnaires-reprennent-la-rue-le-temps-d-une-journee_1737335
01/07/2019 https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Au-Soudan-nouvelle-repression-contre-manifestants-2019-07-01-1201032589

Plusieurs centaines de milliers de Soudanais ont défilé dimanche 30 juin dans tout le pays pour réclamer la transition du pouvoir aux civils. Ces rassemblements sont les plus importants depuis la sanglante répression d’un sit-in pacifique par les militaires le 3 juin.

  • Caroline Vinet, le 01/07/2019

https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Au-Soudan-paramilitaires-epingles-massacre-Khartoum-2019-06-06-1201027253

Au Soudan, les paramilitaires épinglés après le « massacre » de KhartoumAu Soudan, les paramilitaires épinglés après le « massacre » de Khartoum

Explication

Un comité de médecins proche des manifestants a chiffré, mercredi 5 juin, à 108 le nombre de morts liés à la répression du mouvement contestataire.

Les leaders de la rue pointent la responsabilité des miliciens des Forces de soutien rapide (RSF) dans la sanglante dispersion, lundi 3 juin, du sit-in de Khartoum.

  • Malo Tresca, le 06/06/2019

https://www.la-croix.com/Monde/Afrique/Au-Soudan-premiere-semaine-vie-sans-Bechir-2019-04-19-1201016733

Au Soudan, « la première semaine de ma vie sans Béchir »

Au Soudan, « la première semaine de ma vie sans Béchir »

D’après l’un de ses proches, le déchu chef d’État aurait été incarcéré, mercredi 17 avril, dans une prison au nord de Khartoum. Malgré cette annonce, les manifestants maintiennent la pression pour en finir avec l’ensemble de son régime.

  • Malo Tresca, le 19/04/2019
2018
17/04/2018 Chams Laz https://www.lemonde.fr/afrique/article/2018/04/17/au-soudan-l-ouverture-au-compte-gouttes-d-omar-al-bachir_5286702_3212.html

20/01/2018

https://www.rfi.fr/fr/emission/20180120-marc-lavergne-soudan-manque-ressourcesMarc Lavergne: «Le Soudan manque de ressources»

Le président Omar el-Béchir, le 12 mai 2016.Le président Omar el-Béchir, le 12 mai 2016.Le président Omar el-Béchir, le 12 mai 2016.Le président Omar el-Béchir, le 12 mai 2016.

Depuis le début du mois, de nombreuses manifestations ont lieu, régulièrement, au Soudan. A plusieurs reprises, quelques centaines de personnes sont descendues dans les rues des grandes villes du pays, pour protester contre la flambée des prix des produits alimentaires. Celui du pain, par exemple, a doublé. Ce n’est pas la première fois que de tels mouvements ont lieu au Soudan. En 2013 et en 2016, une forte hausse des prix avait déjà provoqué des manifestations, très durement réprimées par le régime en place. Marc Lavergne, chercheur et spécialiste de la Corne de l’Afrique, répond aux questions de Magali Lagrange.

RFI: Qu’est-ce qui a mis le feu aux poudres, au Soudan ?

Marc Lavergne: C’est la décision, émise par le président, de privatiser l’importation de la farine qui était un monopole de l’Etat. Cela a provoqué immédiatement une hausse des prix qui fait que le prix a doublé, dans les grandes villes en particulier. Cela s’ajoute à une série de hausses des prix qui est continuelle, depuis quelques années et qui a déjà provoqué des troubles, notamment des manifestations qui se sont soldées par des morts. Il y a donc une politique économique qui est à la fois, d’une part de libéraliser le système et qui, d’autre part, répond à une austérité grandissante parce que le pays manque de ressources.

Le pays manque de ressources. Est-ce que les Soudanais eux-mêmes manquent de ressources. Est-ce que c’est compliqué, la vie quotidienne ?

Pour les urbains, c’est difficile. Le Soudan était un pays essentiellement rural où les gens vivaient assez isolés dans leurs campagnes, avec les ressources dont ils disposaient, et était certainement soumis à des famines ou à des crises alimentaires récurrentes lors des périodes de sécheresse. Cependant, aujourd’hui, c’est un problème urbain qui se pose puisque la plupart des gens sont venus se réfugier dans les villes, à la suite de ces famines, de ces sécheresses. C’est donc un pays à majorité urbaine qui dépend beaucoup, à la fois de ce qu’envoient les émigrés qui se trouvent dans les pays du Golfe et des activités salariées qui peuvent se déployer dans les villes.

De quelles ressources dispose l’économie soudanaise ?

L’économie soudanaise repose toujours sur l’exploitation de certaines ressources naturelles. Il y a toujours un peu de pétrole - à peu près le quart de ce qui était exploité avant la sécession du Sud-Soudan - mais aussi de plus en plus d’or qui a été découvert dans les régions du nord du Darfour et qui d’ailleurs provoque une véritable ruée vers l’or et donc beaucoup d’appétit.

Il y a aussi, paradoxalement, les ressources agricoles, c’est-à-dire d’immenses domaines qui appartiennent, pour l’essentiel, aux barons du régime. Ce sont les protéagineux, l’arachide, le sésame ou encore le sorgho qui était exporté vers les pays occidentaux pour nourrir les cochons.

Cette extension de l’agriculture de grande surface, mécanisée et extensive s’est faite au détriment des paysanneries qui justement ont été obligées de céder leurs terres et de rejoindre les villes. Ainsi, on a, à la fois, des capacités de rassembler d’immenses fortunes pour les gens qui sont proches du régime, et d’un autre côté, une paupérisation de la population, d’abord des paysans pauvres mais aussi, maintenant, des classes moyennes qui sont salariées en milieu urbain.

Ce sont d’abord les étudiants qui ont manifesté, puis il y a eu aussi des manifestations, à l’appel de partis d’opposition. Pour l’instant, ce sont quelques centaines de personnes qu’on voit manifester. La réaction des autorités soudanaises a été la répression de ces mouvements. Peut-on s’attendre à ce que ces mouvements prennent de l’ampleur ?

Justement. Ces mouvements qui ont été appelés par les étudiants qui, depuis longtemps, sont mobilisés contre le gouvernement, en particulier à l’université de Khartoum, c’est quelque chose d’un peu classique, au Soudan mais aujourd’hui, cela s’est quand même répandu. Il y a, en effet, une résonnance de cette mobilisation étudiante auprès de la population.

Il y a deux partis politiques qui sont tolérés à savoir le Parti communiste et le Parti Oumma qui ont rassemblé leurs manifestants mais qui ne constituent que quelques centaines de personnes. On voit donc que ce mouvement a du mal à embrayer sur la grande masse de la population qui, il faut bien le dire, est tétanisée par la répression brutale dont ce régime est capable. Depuis trente ans, en effet, il n’hésite pas à tirer sur la foule et les gens savent finalement que la révolte est impuissante dans la plupart des cas. Ceci étant, les choses peuvent évoluer quand même sachant qu’il s’agit d’une question de survie pour ces gens qui font la queue pour avoir quelques kilos de farine et qui n’arrivent plus à nourrir leur famille, ni à assurer les besoins vitaux avec, finalement, les petits salaires dont ils disposent.

Que peut faire le Soudan pour calmer la colère ? A-t-il les moyens de subventionner l’alimentation ?

Le gouvernement soudanais a pris cette décision, je dirais, en faisant un arbitrage entre les besoins sécuritaires, l’armée, et surtout les Services de renseignements qui sont les piliers du régime, au détriment de la population. Ainsi, on peut penser que la situation n’était pas critique au point que d’autres arbitrages auraient pu être faits. Cependant et dans ce cas-là, la stabilité et la pérennité du régime étaient menacées car si les prébendes dont disposent l’armée et les services de sécurité qui mènent cette guerre intérieure contre les rebelles des monts Nuba, du Nil Bleu, du Darfour, eh bien si cette armée – et en particulier les officiers généraux – n’est plus alimentée comme elle le souhaite, elle peut se retourner contre le régime. Il y a donc là une décision qui a été prise et qui était un petit peu contrainte, compte-tenu de la façon dont ce régime gouverne son pays, depuis maintenant trois décennies.

2017
27/10/17 Laurent Martinet https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/arabie-saoudite-neom-un-projet-fou-pour-inventer-l-avenir-de-l-humanite_1955174.html
2017 : http://www.atlantico.fr/decryptage/20-millions-personnes-en-train-mourir-faim-pire-famine-depuis-1945-est-en-cours-3069092.html
Intervention sur la famine au Sud-Soudan , pour le site Atlantico le 2 juin 2017
2017 : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/pourquoi-le-qatar-est-mis-au-ban-par-l-arabie-saoudite-et-ses-allies_1915121.html
Intervention sur la rupture entre l’Arabie Saoudite et le Qatar, L’express, 7 juin 2017

2017 : http://www.decryptnewsonline.com/2017/01/omar-el-bechir-sera-t-il-sauve-par-obama.html, interview par Décryptonline, 18 janvier 2017 ;

2017 : http://www.tribunelecteurs.com/soudan-la-levee-de-sanctions-americaines-suscite-critiques-et-interrogations/, Interview par La Tribune des lecteurs, 21 janvier 2017 ;

2017 : http://www.france24.com/fr/20170113-soudan-etats-unis-terrorisme-afrique-sanctions-economiques-levees-obama, 13 janvier 2017 ;

2016 : http://www.la-croix.com/Debats/Forum-et-debats/Marc-Lavergne-Il-sagit-dobtenir-succes-aupres-Moscou-meme-minime-2016-10-11-1200795361, avec Dorian Malovic, 11 octobre 2016 ;

2016 : http://www.liberation.fr/planete/2016/07/11/marc-lavergne-le-soudan-du-sud-a-besoin-d-une-aide-internationale-plus-active_1465600, avec Estelle Pattée, 11 juillet 2016 ;

2016 : http://www.france24.com/fr/20160411-arabie-saoudite-egypte-israel-iran-strategie-pont-mer-rouge-enjeux-geostrategiques, 11 avril 2016 ;

2013 : http://www.bienpublic.com/actualite/2013/09/23/c-est-une-guerre-du-business-pas-ideologique, interview sur le conflit au sein du régime au Sud-Soudan ;

2013 : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/egypte-de-la-violence-et-des-victimes-mais-pas-de-quoi-parler-de-guerre-civile_1265042.html

2012

02/06/2012 Olivier Tallès  https://www.la-croix.com/Archives/2012-06-02/Au-Soudan-le-combat-desespere-des-Noubas.-Entretien.-Marc-Lavergne-geographe-directeur-de-recherche-au-CNRS-Le-regime-de-Khartoum-peut-se-maintenir-par-la-violence-_NP_-2012-06-02-813506

2012 : http://www.lefigaro.fr/international/2012/04/23/01003-20120423ARTFIG00683-les-deux-soudans-s-enfoncent-dans-une-guerre-sans-issue.php Interview du Figaro lors de la guerre du pétrole d’avril 2012

2012 : http://geographie-ville-en-guerre.blogspot.fr/2012/02/le-regard-dun-geographe-sur-le-darfour.html, interview pour le blog de Bénédicte Tratnjek « Géographie de la ville en guerre », 11 février 2012 ;


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